Un sujet X

C'est une famille très ancienne originaire de Bretagne les Lavandière. Assez ancienne pour avoir ses propres légendes. D'après ce qu'on raconte sur cette famille, elle est très liée par l'eau. On dit que certains de leurs ancêtres sont des Morgans et des Selkies. Si les Morgans s’apparente aux Ondine et aux sirènes, des jeunes gens d'une beauté exceptionnelles, vivant dans un palais luxurieux, les Selkies sont représenté comme des femmes ayant une peau de phoque qui parlent en chantant.  Ces légendes sont sûrement naît pour expliquer la beauté enchanteresse des Lavandières, et le timbre cristallin de leurs voix. Ont-ils du sang d'hybride dans leurs veines ? Rien n'est plus sûr mais les Lavandière aiment que le doute reste ancrée dans les esprits. Cela leurs donne une part de mystère et ce sont les premiers à parler de ce côté hybride que serai le leurs.

Le Manoir ancestrale des Lavandière se trouve sur l'île de Ouessant, là où habiterai les Morgans, ce qui rajoute une possibilité de leurs hybridité. Celui-ci est composée de deux parties : une visible par les moldus et l'autre réservé aux personnes dans le secret de la magie. Il a les pieds dans l'eau au sud et la forêt au nord. On y rentre à l'Est en étant de simple mortel, à l'ouest pour les sorciers. C'est un Manoir où il fait bon vivre mais depuis quelques années, il ne sert qu'aux vacances et quelques grandes réceptions. En effet, la famille habite depuis la capitale de la France : Paris. Plus particulièrement dans un appartement situé à côté de Saint Lazare. Les Lavandière se promènent plus dans le Paris moldu. C'est d’ailleurs dans un hôpital privé Moldu que vit le jour Louise Morgane Lavandière le 14 mai 1927, faisant la joie de sa famille.

Louise n'a jamais vécut le manque dans son enfance. Chouchoutée par sa famille, elle eut toujours le mieux qu'il existait. Moldu ou Sorcier, elle vit dans le luxe permanent, les jeux et l'attention, cela fla rendit assez capricieuse, matérialiste, manipulant son petit monde pour parvenir à ses fins, et cela dès le plus jeune age. A la différence de certains enfants de son milieu, elle n'a jamais vécut avec les domestique, suivant sa famille partout où ils allaient, ce qui développa sa curiosité et son envie de savoir. Oui, elle en a vu du monde la petite Lavandière. Son père représente le ministère Français dans toutes les agglomérations magiques, et ses grand parents maternelles ainsi que sa mère sont de très grand bourgeois qui aiment parler politique autour d'un verre de vin, ou d'une danse. Des personnes politiques, habitué à la mondanité qui comptent dans le monde Moldus et  sont souvent invités à des réceptions, et réunion.

C'est lors d'une réception avec son père, la nuit du 27 février 1933 à Berlin que Louise connu l'enfer. A cette soirée, les sorciers parlent de tout de rien et surtout de l'élection d'Adolf Hitler. Ils se demandent si cela va changer quelque chose, surtout en sachant que Grindewald monte peu à peu au pouvoir. Disputant sous une grande coupole en verre, tous furent prit par surprise quand une explosion se fit entendre. Cela se passa si vite qu'une dizaine de sorciers perdirent la vie sans même s'en apercevoir. Ce fût aussitôt un monde de chaleur, de rouge, jaune, blanc et de fumée qui entoura la jeune fille d'alors cinq ans. Elle eut beaucoup de chance que son père ne mourut pas pendant l'explosion, et fut vite protéger par un sortilège de gèle flamme. Elle n'oublia jamais cet instant et développa dés lors une phobie du feu et des flammes. De plus, cela lui arrive souvent de rêver de cette nuit là déclenchant des crises de panique quand elle est replongée dans ses souvenirs. Elle n'en fût jamais guéri, même aujourd'hui.

Louise fût élevé dans cet environnement qui mélange  luxe, plaisir, danger et jeux politique. Sa grand mère lui appris depuis son plus jeune age la manipulation, même si elle avait déjà une prédisposition à cela, et le rôle des mots entourés de miel pour mieux cacher le poison qu'ils possèdent. Son père lui enseigna les rites et coutumes de l’Aristocratie Magique, alors que on grand-père faisait de même pour le monde Moldu. De sa mère, elle, lui apprit le pouvoir des apparences, et l'élégance de la parisienne. En grandissant, Louise décida de cacher ces connaissances pour paraître innocente. Car si elle comprit bien une chose c'est que la plupart des personnes qui paraissent sotte et faible ne sont pas pris au sérieux. Et c'est ainsi que la Lavandière devint la blonde sans cerveaux qu'on connaît aujourd'hui, utilisant sa plus grande arme, sa beauté, pour abaisser les barrières de ses proies.




Les neuf ans de Louise furent l'objet d'une grande fête dans sa famille Sorcière. En effet, elle est invitée à suivre sa scolarité dans l'Académie de Beauxbaton dès l'année prochaine. A cette occasion, la famille Lavandière se rendit à Versailles pour acheter ses fournitures et sa baguette magique. Des livres scolaires certes, mais aussi des tenues de soirées de danses, et deux instruments de musiques. Louise choisit la harpe et la flûte traversière. La petite fille fût autorisée à prendre un animal de compagnie parmi ceux acceptés à l'Académie de Beauxbaton et tomba sous le charme d'un jeune Gronian au pelage gris clair, presque blanc. Elle reçut aussi sa baguette magique en bois de pommier et écaille de sirène, qui donna des étincelles bleu et verte lorsqu'elle l'agita. La composition de sa baguette impressionna beaucoup Louise, surtout que ses grand-parents paternels avait l'habitude de lui parler de leurs lointains ancêtres les êtres d'eaux.

L'année suivante, c'est à dire l'année de ses dix ans, elle fit sa première année au sein de cette grande école. Située au sud de la France, elle accueille des élèves de France, mais aussi d’Espagne, d’Italie, du Portugal, de Hollande, du Luxembourg et de Belgique. Cette diversification de cultures et de langue fait de l'école un lieu culturel très avancée et très ouvert d'esprit. Il n'y a pas de maison et de compétition comme à Poudlard mais des dortoirs en fonction de son année, son sexe et de sa provenance géographique. A Beauxbâton, les élèves se fichent complètement du statut du sang. De plus, à la différence d'autres écoles, l'Académie est située toute proche d'un village moldus où les sorties sont autorisées. L'école est même visible par les moldus, du moins une partie, et est réputée pour accueillir l'élite de l’Europe de l'Est, la seule consigne lors des sorties est de ne pas prendre sa baguette magique.

Louise appris l'Art, la musique, le chant, la danse, la cuisine, l'escrime, les langues étrangères et l'équitation en plus des matières traditionnelles de la magie. De plus les journées sont séparée en deux. Le matin est consacrée aux enseignements dit traditionnels, l'après midi aux enseignement artistique et linguistique, et le samedi est réservée au sport. Elle se fît beaucoup d'amis et sa réputation de séductrice commença au court de sa troisième année. Louise excelle dans l'équitation, le chant, la danse et la musique mais ne semble pas très bonne dans les autres matières. Du reste, elle pris en quatrième année l'option de langues spécialisée des créatures magiques ainsi qu'un approfondissement en potion et botanique. La jeune Lavandière est catastrophique en défense contre les forces du Mal, Astronomie et Métamorphose.

Si tout semble parfait dans le meilleur des mondes, la peur est belle est bien présente. Entre  l'occupation Allemande, la seconde guerre mondiale qui monte et l’ascension de Grindewald, l'heure est à la vigilance. Si les élèves sont en sécurités dans l'enceinte magique, ce n'est pas le cas de leurs familles. Le personnel et les élèves sont toujours sur leurs gardes, et si les vacances et permission pour rendre visite à sa famille est un réel bonheur pour les élèves, ils appréhendent toujours le départ en se demandant si c'est la dernière fois qu'ils les verront. La guerre fait rage dehors et aucun monde n'est à l’abri. Quand Louise remonte vers Paris c'est un univers qui s'écroule. Les Allemands sont partout, le couvre feux est permanent et la nourriture rare. Pour la première fois depuis sa naissance, elle apprend qu'elle ne peux pas tout avoir, et cela lui fait peur. Elle est en quatrième année de Beauxbâton, et malgré ses treize ans, elle comprend que plus rien ne sera comme avant.

L'attitude de sa famille l'angoisse. Alors que la solidarité devrait être de mise au regard des temps qui court, elle se déchire petit à petit. La déchirure entre la famille de sa mère et de son père est brutale alors qu'une famille juive rentre en compte. Sa mère était très amie avec une jeune maman de religion juive et malheureusement de nationalité polonaise. Pour vouloir protéger sa famille, le frère de sa mère dénonça la famille polonaise aux Nazis. Ce fût une trahison qui rendit madame Lavandière amère et froide envers son frère. Les grand-parents maternel de Louise, incapable de voir leurs enfants se déchirer prennent la décision de se rendre à Bordeaux la nouvelle capitale de la France libre et se firent tuer en chemin par une bombe. Comme ça, presque par hasard. La perte fût très dure pour la famille Lavandière, et le père de Louise commença à prendre des mesures. Ils transplanèrent dans le Manoir ancestrale dès que Louise termina sa quatrième année à Beauxbâton et commença à préparer leurs fuite en Angleterre. Les négociations furent secrète, même si Louise s'en doutait, surtout quand elle ne fît pas ses achats pour sa cinquième année.

Le 24 septembre 1941, jours de la création du comité national français à Londres, l'instance de la France libre tenant lieu de gouvernement en exil, les Lavandière déménage en Angleterre. Ils ont alors l'asile politique. Ils s'installèrent une maison de campagne dans les landes anglaises, et on commença à préparer Louise pour une entrée à Poudlard. En effet, elle avait loupé la rentrée de septembre et le ministère de la magie voulait être sûr de son niveau avant qu'elle entre à l'école de sorcellerie anglaise. Pendant deux mois, la jeune lavandière apprit tout ce qu'elle pouvait sur cette école et essaya de comprendre les différences entre l'enseignement de Beauxbâton et de Poudlard. Elle passa plusieurs test d'aptitude au ministère, et il fût déclarée qu'elle avait le niveaux d'un quatrième année à l'école Anglaise. Cela fît tout drôle à Louise sachant qu'elle aurait dût rentrer en cinquième année en France, mais on lui apprit qu'en Angleterre, les sorciers commençaient la scolarisation à Onze ans et que les journées ne sont pas coupés comme elle avait l'habitude. C'est pendant les vacances de la Toussaint qu'elle rencontra le directeur Dippet pour sa répartition.





Le directeur Armando Dippet fût très gentil avec Louise. Il lui parla des quatre maison de Poudlard et de la coupe qui opposent celles-ci. Même si Louise en avait eut vent, elle ne comprit pas ce que cela apportait à l'école. D'après ce qu'elle comprend c'est une compétition en quête de l'exellence. A Beauxbâton, cela ne se passait pas comme cela. En fait, accroché à côté des portes de Salle à Manger, était accrocher le classement des différentes classes. Celui-ci changer automatiquement. C'est ce classement qui poussait les élèves à donner le meilleur d'eux même. Cela ne reposait pas sur quelques bons élèves. Mais la jeune Lavandière ne dit rien. Elle écoutait posant des questions plus stupides les unes que les autres. Sa plus grande déception fût de savoir qu'Apollon, son Gronian ne pouvait pas venir ici. En effet, l'école ne propose pas d'équitation, ni de cours Artistique, ce qu'elle savait déjà et qu'elle regrettait. Cela ne l'empêcha pas d'avoir emmener ses instruments dans sa valise.

Une fois la discutions finis, le professeur Dippet lui présenta un vieux chapeau et lui demanda de le mettre. Septique, Louise le mit et sursauta lorsqu'elle entendit une voix dans sa tête. Elle mit un peu de temps avant de comprendre que c'est comme cela qu'ils "répartissaient" les élèves dans les différentes maisons. Le Choixpeau lût en elle comme un livre ouvert, ce qui la mit mal à l'aise. Il comprit aussitôt qu'elle était dangereuse, ambitieuse, cultivée et rusée. Alors qu'il criait "SERPENTARD", Louise lui demanda de ne jamais parler de sa vrai personnalité. Le Choixpeau lui rassura que tout le monde avait le droit à ses secrets, avant de retomber dans le silence. Le Directeur fût surprit du choix de maison mais il ne dit rien. Louise retient un sourire, en effet, comment pouvait-il comprendre que la petite sotte qu'elle avait jouer était aussi Rusée qu'ambitieuse ? Elle fût présenter à l'école pendant le repas du midi, et elle se tourna vers la table de vert et d'argent. Sa nouvelle maison pour le reste de sa scolarité.

L'adaptation de la jeune blonde fut plus facile qu'elle ne le pensait. En effet, être nouvelle et Française en plus, cela attire le monde, car ils veulent savoir le climat en France, comment est Beauxbâton, et connaître un peu plus la "belle française" comme on la surnomme dans les couloirs. Enfin, si niveaux relation, tout vas pour le mieux, ce n'est pas le cas du rythme scolaire. Habituée aux cours seulement le matin, et "l'amusement" l'après midi, Louise est un peu perdu, et fatiguée d'être toujours assise dans une classe. Elle fit aussi parler d'elle pendant le cours d'histoire quand elle avoua qu'elle ne conaissait rien aux révolutions globines en Angleterre, essayant de faire comprendre qu'à beauxbâton, ils apprennent l'histoire magique et moldu de toute l'europe, et pas seulement de la France. En revanche, elle fit des merveilles en Potions et Botanique où elle à un niveaux plus avancée que les autres grâce à ses anciennes options.

Au fur et à mesure que le temps passe, les Anglais sont un peu dérouté par le fait qu'elle ne parle jamais de la nature du Sang. Pire, elle est fière d'être soit disant à moitié hybride et avoir des moldus et sang-de-bourbe dans sa famille. De plus, on ne comprend pas pourquoi une gamine de quatorze ans passe son temps à draguer les garçon ou les étudiants de l'université. Il y a même des rumeurs comme quoi elle draguerai certains professeurs. Une jeune femme qui ne rentre pas dans le moule des anciennes familles, dont la virginité avant le mariage et les fiançailles arrangée sont une banalité. Ont dit que c'est son côté Français qui explique tout ça. Et puis, elle est le cliché même de la blonde sulfureuse qui n'a rien dans le crane. Enfin bref, cette attitude dérange mais on en profite aussi, et c'est comme cela que Louise eut sa première expérience sexuelle moins de quatre mois après son arrivée dans l'école Anglaise. Et son attitude ensuite fit naître une réputation de fille facile, sulfureuse. Une jeune femme appelant et habité par la Luxure, ce qui ne dérange pas du tout Louise Lavandière.

La scolarité continu, et son attitude de séductrice aussi. Et aussi surprenant que cela puisse être, malgré son arrivée tardive à Poudlard, elle fut très vite au courant de tout les potins, dont ceux qui parlent d'elle. Rumeurs que sans le montrer, elle parviens à contrôler. Si bien que tout ce qu'on dit sur elle, paradoxalement c'est Louise qui les lancent. Elle se fit un groupe d'amis, une réputation et devint très populaire. Les élèves connaissent aussi son  don pour la musique, et il n'est pas rare de l'entendre jouer dans la salle commune des serpentard, dans des salles vides ou encore au pied du Lac Noir de Poudlard. On connaît Louise Lavandière. On la connaît soit à cause de son statut de réfugiée politique, sa beauté, sa réputation, son don pour la musique ou encore à causes des rumeurs. Une première année en Angleterre qui fût riche en émotion pour la jeune Lavandière.





Louise entre pour la seconde année consécutive à Poudlard, direction la classe de cinquième année. C'est étrange mais on a l'impression qu'elle à toujours fait partit de cette école. En même temps avec cette réputation qui est la sienne, ce n'est pas facile de l'oublier. Elle se place donc à la table des Serpentard où on l’accueille avec le sourire, des clins d’œils et autre mimique démontrant qu'elle est la bienvenue malgré son côté excentrique "français" qu'on ne comprend toujours pas vraiment. Mais on se réhabitue vite à ses gestes quand elle parle, son sourire, son manque d'intelligence flagrant et ses paroles pleines de séductions. Celles-ci sont plutôt bien accueillit puisqu'on la connaît maintenant. Surtout que pour rien gâcher à la chose, Louise s'est encore embellit si cela serai possible. Elle présente de très belles formes, une chevelure toujours aussi blonde et des yeux qui paraissent noir si la lumière ne montrait pas des reflets bleu marine. En revanche elle à grandit, elle fait un bon cent soixante-dix centimètre. Ce qui est pas mal quand on sait qu'elle n'a que quinze ans. Bien qu'on lui donne deux ans de plus si ce n'est plus. Oui, la blonde est en train de devenir un fantasme vivant. Dommage que son cerveaux n'as pas évolué se disent-ils... S'ils savaient...

Dans la salle commune, on présente les nouveaux préfets. Louise n'a yeux que pour un seul : Tom Jedusor. Quand elle le regarde, elle ne veux qu'une seule chose, l'avoir dans son lit. Louise passe donc cette année à regarder Tom du coins de l’œil. Oh, cela ne change rien à ses habitudes de changer d'hommes comme de chemise, surtout qu'elle n'ose pas l'approcher. Il lui parait inapprochable, comme si un mur les séparer. La jeune femme commence alors à développer de la fascination pour ce jeune homme qui est plus vieux qu'elle. Elle l'observe. Et pendant ce temps elle ne fait pas attention au climat qu'il s'installe à Poudlard. Une chose est sûre pour Louise, cet homme est dangereux. Elle ne sait pas pourquoi, mais cela reste ancrée dans son esprit. Il parait trop parfait selon elle. Mais elle est quand même fascinée par lui. Comme un papillon devant la lumière des flammes.

C'est pas possible. Voici ce qui reste dans la tête de Louise. Ce n'est pas réel. Il ne peux pas avoir de mort. Pas ici, pas à Poudlard. Elle n'a pas quitté la France pour retourner dans un environnement propice à la mort. Surtout qu'elle ne comprend toujours pas comment le Sang peux avoir autant d'importance pour les Anglais. Elle n'a jamais vécut avec cette fixation pour les origines et la généalogie. Elle ne comprend pas comment on a pût tuer une personne juste pour son sang. Jusqu'à preuve du contraire il est de couleur rouge chez tout le monde. Aucune différence si ce n'est le groupe sanguin. A Beauxbâton ils avaient l'habitude de dire que ceux choisis par la magie sont tous égaux. C'est pas la même chose ici, et ce sera toujours une incompréhension pour la Française. La chambre des Secrets, elle n'y crois pas trop. Pour elle c'est une légende. Surtout que le demi-géant n'est pas à l'image qu'on donne de Salazar Serpentard. Et une araignée ne siffle pas. Mais cela ne change pas qu'il est dangereux d’emmener à l'école une créature comme celle-ci

L'année se termine avec pleins de questions et un climat de méfiance qui rappel celui qui régnait à Beauxbâton avec l'avancée des Allemands. Un climat qui ne conviens pas à Louise. Alors, elle sourit, elle fait la folle, elle essaye de faire rire avec des bêtises, elle multiplie les conquête pour essayer de faire oublier aux gens ce climat, et la mort de la serdaigle. Et puis les vacances arrivent comme une bouffée d'air. Jusqu'à la rentrée scolaire prochaine. Une rentrée pleine de surprise puisqu'une de ses amies lui demande si elle peux se rapprocher du groupe de Tom jedusor, obtenir des infos... Louise comprend donc que rien n'est finis mais que tout commence. Elle accepte, tout en espérant ne pas finir brûler par la fascination qu'elle voue à cet homme. Et le Poudlard Express continue sa route vers l'école Anglaise, emmenant la jeune blonde de seize ans vers de nouvelles aventures.